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prologue
01* Les conflits inutiles et le drama forcé : Je refuse catégoriquement de me retrouver piégée dans des disputes futiles ou dans des tensions créées uniquement pour nourrir des ego fragiles ou attirer l’attention. Ce genre de dynamique est toxique et ne mène qu'à l’épuisement, sans aucune valeur constructive.
Mon énergie et mon temps sont trop précieux pour être gaspillés dans des querelles vides de sens. Je préfère investir dans des relations authentiques et des échanges qui me nourrissent, plutôt que de m’attarder sur des distractions superficielles et destructrices.
02* Les attentes démesurées : Je ne suis pas une machine à produire du contenu ni une présence constante. Je joue à mon rythme, et je ne culpabiliserai plus de ne pas répondre immédiatement ou de prendre du recul quand j’en ressens le besoin.
03* Le manque de respect et l'irrespect déguisé : Qu’il soit frontal ou subtil, je ne tolérerai plus le mépris, les piques passives-agressives ou les comportements condescendants. Je mérite des interactions saines et équilibrées, et je m’entourerai de personnes qui partagent cette vision.
04* Les personnages trop portées sur le sexe et les personnages axés uniquement sur cet aspect : Je ne veux pas être en contact avec ce genre de personnages ni interagir avec ceux dont toute l’identité tourne autour du sexe. Les sous-entendus lourds, les avances insistantes et les contenus centrés uniquement sur ça ne m’intéressent pas. Je privilégie des échanges avec du respect et de la profondeur.
05* Les doubles comptes pour revenir me parler : Si je n'aime pas un personnage, il n'y a aucune utilité à revenir sous un autre compte pour essayer de relancer la conversation. Si nous devons nous reparler, cela devra passer par une discussion mature, où nous avons tous les deux pris le temps d’arranger les choses de manière adulte et respectueuse.
06* Intransigeance sur ces règles: Toutes ces règles et d’autres que j’ajouterai ne seront pas modifiées. Je serai intransigeante à leur sujet, et je ne ferai aucune concession. Mon bien-être et ma tranquillité d’esprit sont ma priorité, et je ne tolérerai pas qu’on les compromette.
07* Merci de me bloquer si vous avez le moindre soucis avec moi : ayant perdu mon compte récemment j'aimerais éviter que ça recommence.
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track one
Nom de naissance: Aisling Guicciardi. Surnom: Ais, Ash, H Date de naissance: 5 Novembre, 2001. Lieu de naissance: Cefalù, Sicile, Italie. Vit à : Rome Emploi: Mannequin, ancienne danseuse de ballet. Diplômée de : l'Accademia Nazionale di Danza de Rome & de l'Università Bocconi de Milan.
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Nationalité: Italienne. Signe astrologique: Scorpion – Gémeaux – Taureau Starter pack: La religion, La famille, coucher de soleil à Cefalù, Formule 1, Loewe, gloss, journal intime en cuir noir, Tennis, Balzac ou Pirandello annoté, ballet au Teatro Massimo de Palerme, Golf, parfum poudré ancestral, Matcha lait d'amandes grillées, cappuccino glacé à Rome, Taylor Swift & rock alternatif Aesthetic: Dark academia, baby girl and femme fatale.
| ais's airpods. | |
|---|---|
| Echoes of the present by Kid Cudi | Head Horse by Hayley Williams |
| but daddy i love him by taylor swift | Down Bad by taylor swift |
| Sacred by Parkway Drive | Feminine rage by Peggy |
| Everything ends by Architects | Pandemonium reloaded by Vald |
| Shadow Talk by Magnolia Park | Everything to me by Maddie Zahm |
ㅤהשיר שאת אהבת מתנגן, וכל פעם זה מרגיש כאילו אתה עדיין כאן איתי.ㅤ
PERSONALITY... Aisling est une jeune femme curieuse mais surtout, attentive à ce qui l’entoure parce qu’elle est toujours avide d’apprendre et de comprendre. Pourtant, dans un environnement inconnu sa timidité prend immédiatement le dessus et elle se referme immédiatement. Dans ces moments là, elle a l’air froide, distante et même hautaine d’après certains. Elle a besoin de temps pour trouver ses repères, mais sa curiosité finit toujours par l’emporter. L’histoire et le cinéma occupent une place essentielle dans sa vie, des passions qu’elle partageait avec son grand-frère. Elle aussi très religieuse, remettant tout entre les mains de son créateur qu’elle considère comme le seul au contrôle de sa vie. Sa famille reste sa priorité absolue, et la réputation de celle-ci compte beaucoup pour elle et malgré quelques frasques en 2024, elle protège sa famille et l’héritage pour lequel ses ancêtres ont durement travaillé.
MADE BY... Charlotte York qui lui a transmis son romantisme et la fidélité à ses valeurs. Buffy Summers lui a appris que la douleur pouvait devenir courage. Blair Waldorf l’a guidée vers l’ambition et le sens de la réputation. Sabrina qui incarne pour elle l’élégance et le désir de liberté. Joey Potter lui a donné curiosité et indépendance. Monica Geller lui a inspiré persévérance et loyauté.

Elle aime... Le cinéma, tous genres confondus, avec une préférence pour les vieux films granuleux qui savent la faire pleurer. La généalogie et l’histoire de sa famille, qu’elle trouve passionnante. La musique, surtout lorsqu’elle lui fait ressentir des émotions intenses. Les personnes cultivées qui lui ouvrent les portes de leur univers.Elle déteste... La superficialité : parler sans profondeur et les conversations qui s’étirent sans jamais rien dire. Le mensonge et l’hypocrisie : surtout venant de ses proches. La banalisation de la douleur : lui dire de tourner la page., comme si certaines blessures n’étaient pas inscrites dans la chair et dans la mémoire. La vulgarité gratuite : dans les mots ou l’attitude. L’arrogance vide : se croire supérieur sans substance.
chapter two

L’histoire des Guicciardi remonte au XIIᵉ siècle, leur nom est apparu pour la première fois dans les registres de la ville de Cefalù, sous le règne de Roger II de Sicile. Déjà à cette époque, ils occupaient des rôles centraux dans la gestion des terres concédées par les Normands.Ils étaient administrateurs, juristes ou bien propriétaires terriens et c’est comme cela qu’ils réussirent à devenir une famille influente, que l'on respectait et craignait même. Au courant des siècles qui suivirent, leur position se confirma et ils occupèrent des postes encore plus importants. Au XVe et au XVIᵉ siècle, la Sicile devient une place stratégique pour le commerce méditerranéen
d’abord consacrée sur l’hydroélectricité finit par élargir son domaine d’activité au gaz. Giulio s’illustra aussi comme un mécène discret. Il contribue à restauration d’édifices religieux, il finance aussi des bourses pour de jeunes ingénieurs et fonde surtout uen bibliothèque renommée à Palerme.Dans les années 1970 à 1980, Carlo Guicciardi, le père d’Andrea, consolide cet héritage. Pragmatique, il diversifie rapidement les activités vers la finance et l’immobilier romain, inscrivant définitivement le nom de sa famille au cœur de la capitale.Andrea Guicciardi, le père d’Aisling, naît en 1974 et grandit entre Cefalù et Rome. Il reprend aux côtés de son père et de son frère les entreprises familiales, qu’il modernise. À la tête d’Energia Mediterranea S.p.A. et de la CSNC, il ouvre de nouveaux horizons.En 1996, il épouse Livia Rossenberg, issue d’une famille italienne qui a bâti sa fortune dans le textile avant de devenir un acteur majeur de la mode internationale.Célébré à Rome, leur mariage est l’union de deux dynasties mais surtout la concrétisation d’un amour qui a vu le jour alors que les deux jeunes gens n'étaient que deux adolescents naïfs et fou amoureux.De ce mariage naît une nouvelle génération, plus libre et vivant avec son temps : Giulia en 1997, David, né en 1991 qui sera adopté par le couple en 2000 ; puis Aisling vient agrandir la famille le 5 novembre 2001.En 2008, Andrea fonde Guicciardi Capital Partners un fonds d’investissement basé à Milan et à Londres grâce auquel il élargit les activités familiales à l’international (finance, logistique, nouvelles technologies, formule 1).
from the vault

Benjamine de la fratrie, Aisling grandit dans un foyer où la rigueur héritée des Guicciardi se mêlait à la tendresse discrète des Rossenberg. Choyée par ses parents, son frère et sa sœur aînée, elle devint vite la princesse de la maison.Très tôt, elle se tourna naturellement vers David, son grand frère, ce garçon au regard intense et aux mains toujours occupées : un piano, un appareil photo, un geste nerveux qui trahissait l’impatience de vivre.Elle l’admirait.
L'adorait.Mais avec le temps, Aisling a vu ce que les enfants finissent toujours par découvrir : les fissures derrière l’image parfaite.David disparaissait plusieurs jours d’affilée. L’odeur métallique dans ses affaires. Ses yeux qui évitaient les siens. Elle avait compris, même si personne n’avait rien dit. Pourtant, rien ne changea entre eux.Elle l’aimait, peut-être davantage encore.
ㅤהלב שלי לוחש את השם שלך בכל צעד שאני עושה.ㅤ
À l’hôpital, elle ne pleura pas. Elle fixa le plafond, longtemps.
Cette nuit-là ne lui a pas seulement arraché son frère. Elle a tout pris.Et dès lors, quelque chose s’est aussi brisé entre elle et sa mère. Livia ne pouvait plus la regarder. Ses yeux glissaient ailleurs. Comme si c’était trop.Trop de ressemblance.
Trop de douleur.Après l’accident, le silence d’Aisling se heurta au bruit du monde. Les journaux avaient parlé du drame : un héritier Guicciardi mort dans un accident de voiture, une adolescente sauvée de justesse, l’image d’une famille jusque-là discrète projetée dans les colonnes des faits divers.Les titres, les rumeurs, les photos volées devant la clinique, tout cela ajouta au chaos intime une violence nouvelle.La famille Guicciardi, d’ordinaire si jalouse de son image, resserra les rangs. Les communiqués étaient froids, maîtrisés, rédigés comme on panse une plaie qu’on ne veut pas montrer. Mais derrière les façades, les fissures s’ouvraient.Certains cherchaient un responsable, d’autres préféraient se taire.Aisling, elle, devint malgré elle le centre invisible de ce séisme : la survivante que l’on protégeait en façade, mais dont la seule présence rappelait la perte.Là où elle ne voyait qu’un gouffre, les autres virent une vitrine. On la poussa doucement vers la lumière des podiums, les objectifs des photographes, les couvertures glacées des magazines.Ainsi débuta sa carrière de mannequin. Non pas comme une conquête personnelle, mais comme une réponse imposée : le moyen de détourner les regards des blessures de la famille, d’offrir au monde une image soignée plutôt qu’un chaos intime. Derrière les sourires figés et les robes haute couture, Aisling portait encore le vide laissé par David.Mais pour les Guicciardi, l'entreprise, elle était devenue le visage qui sauvait l’apparence.
bonus track

Après l’accident, Aisling se cramponna à la danse classique comme à une planche de salut. Chaque matin, elle nouait ses pointes et s’enfermait dans le studio, répétant inlassablement les mêmes enchaînements jusqu’à ce que le temps se brouille.Elle poussait son corps jusqu’à l’épuisement, jusqu’à sentir ses muscles se déchirer et ses pieds saigner à travers le satin. Cette douleur-là, tangible, lui paraissait plus supportable que celle, invisible, qui lui rongeait l’âme.La danse devint son châtiment et son langage. Chaque arabesque portait la trace de l’absence de David, chaque saut résonnait comme un adieu. Ses gestes criaient ce que les mots ne pouvaient pas dire : la colère, la supplication, l’effondrement, puis ce besoin obstiné de se relever.Andrea, son père, assistait souvent à ses séances. Il restait assis au fond de la salle, silencieux, son manteau encore sur les épaules. Il ne donnait aucun conseil, ne posait aucune question. Il se contentait d’être là. Sa présence n’écrasait pas : elle rassurait.Elle était ce repère solide, discret, comme une main tendue qu’elle pouvait choisir d’ignorer mais qui ne se retirait jamais.
Aisling dansait jusqu’à s’écrouler, et dans le miroir, elle apercevait toujours sa silhouette derrière elle. Ce reflet lui rappelait qu’elle n’était pas totalement seule, qu’il veillait. Parfois, dans le silence retombé, il murmurait à voix basse quelques mots — juste assez pour qu’elle les entende sans les saisir vraiment — afin qu’elle sache qu’il restait à ses côtés, quoi qu’il arrive.Mais bientôt, la danse ne suffit plus à endiguer le vide. Les heures passées à répéter jusqu’à l’épuisement la laissaient plus fragile encore, enfermée dans une boucle sans fin. Andrea s’en aperçut avant elle. Un matin, il l’attendait à la sortie du studio, manteau sur le bras, sourire discret. « Viens », dit-il simplement. Elle monta dans la voiture sans poser de question. Le trajet fut long et silencieux. Quand ils arrivèrent, elle comprit : l’Autodromo, la Formule 1, ce monde qui avait toujours fait vibrer son père.Le choc fut immédiat. Le vacarme des moteurs, la vibration du sol, l’agitation des paddocks : tout tranchait avec le silence de la salle de danse. Andrea ne cherchait pas à lui expliquer ni à la convaincre. Il voulait seulement lui offrir une respiration, un ailleurs.Peu à peu, un rituel s’installa. Elle l’accompagnait parfois sur les circuits, observant ce ballet mécanique et précis qui n’était pas si éloigné de celui qu’elle connaissait : la rigueur, l’endurance, l’obsession du geste juste, la beauté d’un mouvement parfait. Andrea lui montrait les coulisses, glissait quelques mots à voix basse, comme il le faisait lorsqu’elle dansait, juste pour qu’elle sente sa présence.Dans ce tumulte d’essence et de vitesse, Aisling découvrit une autre musique. Elle se surprit à sourire, parfois même à se sentir légère. Ce n’était pas une passion, pas encore. Mais c’était un espace partagé avec son père, un lieu où le silence pesant de la maison ne les atteignait plus.Ainsi, au milieu du bruit et de la vitesse, un lien nouveau se tissa entre eux. Andrea ne cherchait pas à combler le vide laissé par David : il savait que cela était impossible. Mais il offrait à sa fille un autre rythme auquel se raccrocher, une scène différente où exister. Et, sans jamais le dire, il l’invitait à trouver sa propre trajectoire, sa propre vitesse.…Paris devint son refuge, la capitale où sa carrière prit forme et où elle apprit à transformer ses failles en force. Sur les podiums, dans les studios photo, elle découvrit une nouvelle manière de se tenir debout : vêtue d’apparats somptueux, figée dans une lumière crue, elle apprenait à donner au monde une image qu’il pouvait admirer sans soupçonner ce qu’elle dissimulait.
C’est là qu’elle rencontra Julien. Au début, il incarna la passion, la folie douce des nuits parisiennes, une intensité qui lui rappelait celle qu’elle cherchait à travers la danse. Mais très vite, la relation bascula.La jalousie, les excès, les éclats de voix devinrent des coups. Aisling s’enferma dans ce cycle, prisonnière d’un engrenage qu’elle confondait encore avec l’amour. La famille, soucieuse de préserver son image et celle des Guicciardi, couvrait les frasques, étouffait les rumeurs, maquillant les blessures comme on maquille une vérité trop dangereuse.Julien représentait ce qu'il y avait de plus beau puis soudainement de plus sombre dans la capitale. Quand il était sous l'effet de la neige, des smileys et autres subtitues chimiques au bonheur, rien au monde ne comptait plus à ses yeux que le sourire de sa petite-amie... Mais quand leurs effets
a new era